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FC Barcelone : 190 millions sur le banc à cause des sélections

Les sélections internationales, c’est toujours la même histoire : plus de matchs, plus de blessures. Et qui trinque ? Les clubs, évidemment. Le FC Barcelone en sait quelque chose, tout comme le Real Madrid et d’autres grands d’Europe. Des joueurs clés se blessent à la pelle, et ça coûte cher, très cher.

Les absences qui coûtent cher au FC Barcelone

En ce moment, le Barca compte pas moins de 190 millions d’euros immobilisés à cause des blessures liées aux sélections. Gavi, un des chouchous du public, est sérieusement touché, avec un coût estimé à 90 millions d’euros. Araujo ? Même chose, sa blessure pèse 70 millions. Fermín n’est pas en reste non plus, avec 30 millions qui s’ajoutent à cette facture salée.

C’est sans oublier Pedri. Lui aussi, il avait morflé pendant l’Euro, et ça a plombé sa prépa d’avant-saison. Quand on voit que ces gars-là passent plus de temps à l’infirmerie qu’à jouer, ça devient franchement inquiétant. Les fans commencent à s’impatienter, et on les comprend !

Trop de matchs, trop de risques

On en arrive au problème de fond : il y a trop de matchs, c’est un fait. Plus il y a de matchs, plus les risques de blessure explosent. Les calendriers sont surchargés et les joueurs sont poussés à fond, sans réel temps de récupération. Mais personne ne semble prêt à lever le pied. Pourquoi ? Parce que moins de matchs, c’est moins de revenus. Et pour les fédérations et les diffuseurs, l’argent passe avant tout.

Les clubs, eux, tirent la langue. Perdre des joueurs à cause des matchs internationaux, c’est un vrai cauchemar. Comment être compétitif si tes meilleurs éléments sont sur le banc à cause de blessures qu’ils se sont faites loin de ton terrain ? Ça devient vite compliqué.

Le Barca n’est pas la seule équipe touchée, bien sûr. Le Real Madrid, par exemple, fait face aux mêmes problèmes. C’est toute l’Europe qui est concernée, mais pour l’instant, personne ne semble vraiment vouloir changer les choses. Tout le monde regarde ailleurs, comme si de rien n’était.

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