Lamine Yamal, jeune pépite du FC Barcelone, était l’invité d’une émission populaire dédiée aux fans de foot. Avec son naturel et son honnêteté, il a abordé plusieurs sujets, de sa carrière à Messi en passant par son quotidien en dehors du terrain. Voici les meilleurs moments de l’interview.
Lamine Yamal et le Barça : Un Amour Éternel
Journaliste : Lamine, tu es devenu un joueur clé au Barça, certains te voient déjà comme une future légende du club. Comment tu te sens par rapport à ça ?
Lamine Yamal : Honnêtement, je n’ai aucune envie de quitter le Barça. Pour moi, c’est ma maison. Il y a plein de rumeurs de transferts (Au PSG Notamment) avec des chiffres fous, comme ces 120 millions d’euros, mais si on me donne cet argent, ça voudrait dire que je dois partir, et ça, je ne veux pas. Mon objectif, c’est de devenir une légende ici, comme Xavi ou Iniesta.
Journaliste : Tu te souviens de tes premiers pas avec l’équipe première ?
Lamine Yamal : Oh que oui, je m’en souviens comme si c’était hier. Le jour de mon premier match, je suis arrivé avant tout le monde. J’étais tellement stressé que je me suis caché près des vélos dans le vestiaire, et j’ai attendu que les autres arrivent avant de me montrer. Sur le terrain, la première mi-temps, c’était pas génial, mais je me suis bien rattrapé après : un but et une passe décisive pour Ansu Fati. C’était un grand moment.
Messi, la Sélection et… un Poulpe ?
Journaliste : On parle beaucoup de toi en te comparant à Messi. Ça te fait quoi, cette comparaison avec la légende du club ?
Lamine Yamal : Franchement, c’est super flatteur. Être comparé à Messi, c’est dingue. Mais moi, je veux être Lamine Yamal, pas juste une copie de Messi. Arriver à son niveau, c’est impossible, c’est un joueur unique. Mais si je pouvais avoir un petit bout de ses pouvoirs… (rires) Qui sait ce que ça donnerait !
Journaliste : Tu as aussi commencé à briller avec la sélection. Comment ça se passe pour toi ?
Lamine Yamal : Jouer avec l’équipe nationale, c’est toujours quelque chose de spécial. J’ai marqué un super but contre la France l’autre jour. Quand tu frappes fort et bien placé, tu sais déjà que ça va rentrer, et tu pars direct célébrer. Par contre, une autre fois, contre l’Italie, je me suis retourné pour fêter et là… pas de but. C’est ça, le foot. Ça te réserve toujours des surprises. (rires)
Journaliste : Il paraît que tu as un rêve un peu spécial à la maison, c’est vrai ?
Lamine Yamal : Oui, j’en parle souvent, j’aimerais bien avoir un poulpe comme animal de compagnie. Je demande à ma mère depuis que j’ai 13 ans, mais elle ne veut pas. Elle m’avait dit : “À 18 ans, on verra”, et maintenant, elle a repoussé à 21 ans. C’est un truc un peu fou, je sais. Mais imagine, t’as des potes qui viennent chez toi et là, bam, ils voient un poulpe dans le salon ! (rires)
Un Jeune au Sommet mais humble
Journaliste : Avec tout ça, tu arrives à garder un quotidien normal ?
Lamine Yamal : Ma mère, c’est elle qui gère tout. Elle veille sur moi et elle s’occupe même de mon agent. C’est elle qui a le dernier mot à la maison. Moi, je fais ce que je peux : je cuisine parfois, mais c’est juste des nuggets de poulet surgelés avec des frites (rires). Les tatouages, par contre, c’est non pour moi. J’ai jamais été intéressé par ça.
Journaliste : Comment tu fais pour gérer la notoriété ? Ça doit être difficile, non ?
Lamine Yamal : C’est un peu bizarre des fois, surtout quand je vois des photos de mon sosie. Je ne trouve pas qu’il me ressemble, mais bon, c’est marrant. Après, pour rester humble, c’est facile. Je sais d’où je viens, ma famille me rappelle toujours mes valeurs, et ça me garde la tête sur les épaules.
