Le FC Barcelone est prêt à disputer une finale intense face au Real Madrid. À deux jours du choc, Inigo Martinez partage ses impressions, sa motivation, et l’état d’esprit de l’équipe.
« On veut démarrer l’année 2025 de la meilleure façon »
Journaliste : Inigo, comment l’équipe aborde-t-elle cette finale ?
Inigo Martinez : On est vraiment contents d’être à une nouvelle finale, avec une vraie chance de décrocher un titre. C’est le premier trophée de l’année, et on le veut vraiment. Ce genre de victoire peut nous donner un élan pour toutes les compétitions à venir. On est motivés, pleins de passion et on aborde ce match avec beaucoup d’espoir.
Journaliste : Vous avez bien commencé l’année avec deux clean sheets. Cela aide, non ?
Inigo Martinez : Oui, c’est clair. Garder notre but inviolé dans les deux derniers matchs nous donne un coup de boost. Mais on sait qu’on va affronter un grand rival en finale, et chaque détail comptera. Une finale, c’est particulier. Tout peut basculer, alors on doit donner 100 % et être concentrés sur chaque action.
« On sait où frapper le Real Madrid »
Journaliste : Comment vous préparez-vous face à une équipe comme le Real Madrid ?
Inigo Martinez : On sait ce qu’il faut faire. On connaît leurs points faibles, là où on peut leur faire mal. On a une équipe pleine de talents et on a confiance en nous. Si on joue notre jeu à fond, on a toutes les chances de repartir avec le trophée.
Journaliste : Les nouveaux joueurs inscrits dans l’effectif, c’est un soulagement pour vous ?
Inigo Martinez : Absolument. C’était dur pour eux de rester en dehors de l’équipe ces derniers jours, et pour nous de les voir dans cette situation. Maintenant qu’ils sont inscrits, ils sont prêts à tout donner. Ils ont une énorme envie, et ça se sent.
Journaliste : Un dernier mot sur l’importance de ce titre ?
Inigo Martinez : Ce serait magnifique de commencer l’année en soulevant un trophée. Ça fait toujours plaisir de gagner, et on veut tout donner pour rendre nos supporters fiers. Dans deux jours, on espère que ce sera notre tour.
