Le FC Barcelone a renversé l’Eintracht Francfort 2-1 en Ligue des Champions. Jules Koundé a inscrit les 2 buts du match.
Ce n’était pas un match propre, loin de là, mais comme l’a dit Pau Cubarsí juste après la rencontre : « Quand les choses ne se passent pas bien, il est important de gagner. » Et ça résume parfaitement l’ambiance du moment.
Le but rapide de Knauff a mis un vrai coup de froid. Encore une fois, on court derrière le score dès le début. Ça devient un problème récurrent cette saison, et on le voit tous. Mais dès que l’équipe a commencé à retrouver un peu d’énergie, et que les tribunes ont mis le feu, tout a changé. En seconde période, le rythme s’est installé, les attaques sont arrivées plus vite, et Jules Koundé a fini par claquer deux coups de tête qui ont retourné le match.
Une défense qui doit encore progresser
Cubarsí n’a pas cherché d’excuse : il y a encore trop de petites erreurs qui coûtent cher. Il l’a dit clairement : l’équipe doit retrouver la solidité pour éviter de prendre un but à chaque début de match. Garder la cage inviolée, c’est important pour tout le monde, surtout pour Joan Garcia qui enchaîne maintenant les grosses soirées.
Ces dernières rencontres, Cubarsí joue aux côtés de Gerard Martín. Et ça se sent que les deux commencent à se comprendre. Le jeune défenseur l’a félicité : travailleur, appliqué, il profite à fond de chaque minute qu’on lui donne. Même s’il ne joue pas depuis longtemps en défense centrale, il remplace un Araujo défaillant, et il faut lui laisser du temps.
🚨🗣️ Pau Cubarsí: "We have conceded too many goals in recent matches. We need to adjust things."
"Sometimes the opponent plays well and does things right, but we can improve those details, and if the opponent takes the lead in the score." pic.twitter.com/0Kecbcctmi— The Touchline | 𝐓 (@TouchlineX) December 9, 2025
Joan Garcia et le petit signe pour Koundé
Le gardien a aussi pris la parole. Il a raconté qu’avant le match, il avait dit à Jules Koundé : « Tu vas marquer. » Résultat ? Doublé. Le genre d’histoire qu’on adore entendre après une victoire, parce que ça montre l’état d’esprit dans le vestiaire.
Mais Joan Garcia est resté sérieux ensuite. Il a rappelé que l’équipe encaisse trop vite, trop tôt, et que ça ne peut pas devenir une habitude. Il voit quand même des progrès : plus d’intensité, un rythme qui revient, une équipe qui commence à retrouver des repères. Et il savait que ce match allait être difficile : l’Eintracht a défendu très bas, très compact.
On sort donc d’un match où tout n’a pas été parfait. Mais le caractère du groupe, la réaction, l’ambiance… tout ça nous montre qu’on avance.